Clip patriote d'Aznavour !

Bonjour !
En cliquant sur le lien ci-dessous vous pourrez voir un clip de ma composition.
Il s'agit d'une interprétation patriote et anti-pensée unique de la chanson "comme ils disent" de Charles Aznavour.

https://www.youtube.com/watch?v=rDLrXZ0yM64

Qu'en pensez-vous ?
Vous pouvez voir mes autres vidéos ici :
https://www.youtube.com/profile_videos?user=pastanik

Passez un bon moment !

Pastanik,

La dernière phrase de votre pastiche est tout à fait pertinente, tout aussi pertinente que la description que vous faites de certaines situations, en certains endroits du territoire français....

Pour autant, il y a d'autres solutions que celle de répondre à la violence par la violence.

En 1979, j'ai mené une étude sociologique, à REIMS, sur la réalité cachée de certains de ses quartiers que l'on a ensuite appelé "sensibles" puis enfin "ghettos".

J'étais chaque jour face à l'injustice,, l'inégalité, la violence, le mépris dont les enfants étaient les premières victimes. Je ne pouvais qu'envisager une EXPLOSION future et je ne me suis pas privé de le dire.

Certes, on m'a vilipendé, on a tout fait pour me neutraliser, on m'a exclu de mon travail, de mon domicile....

JAMAIS, au nom de l'humanisme, parce que j'ai ma dignité d'humain et qu'elle ne tolère aucun compromis, je n'ai capitulé, même crucifié....

Je me suis obstiné parce que je SAVAIS que je détenais la VERITE... mais ce ne fut jamais que le Verbe qui intervint, un Verbe certes parfois dur, mais jamais agressif, jamais tourné vers les personnes, mais vers les idées qu'elles véhiculaient et qu'on leur avaient inculquées.

L'EVIDENCE est alors apparue.... et la concrétisation se fait de manière évidente....



Il y a deux ans, dans le quartier Wilson où j'ai exerçé comme instituteur de 1985 à 1995, la Tour Mozart était détruite, en présence de Jean-Louis Borloo.

Le 19 novembre 2006, la Tour Taittinger, dans le quartier Croix-Rouge, à 150 mètres de l'endroit où j'ai demeuré de 1985 à 2006 s'effondrait en quelques secondes.

http://boussard1.free.fr/video/video-explosion-tour-taittinger-reims.html



Cette Tour portait le nom d'un ancien Maire de REIMS, Jean Taittinger, qui fut aussi, à la fin des années 60, Ministe de la Justice....

J'y vois un symbole très fort : une époque s'est effondrée avec cette tour....


Alors engageons-nous dans la construction d'une autre époque, en mettant en commun TOUTES les énergies..... ici et ailleurs.... sans discrimination, positive ou négative.... parce que , dans tous les cas, il s'agit de discrimination !

A l'heure actuelle, peu importe de savoir si l'on est homme ou femme, si on a la peau blanche ou noire, si l'on est jeune ou vieux.....

Il y a URGENCE pour la survie de CHACUN et donc de TOUS....

Il nous faudrait 4 planètes au rythme actuel et nous ne pourrons jamais disposer que d'UNE Terre......

Cordialement

fourmi

Journal L’UNION de REIMS du 18 novembre 2006

Citation :

J-1 pour la tour 53 Taittinger


C'est demain à 11 h 30 que la tour du 53 Taittinger sera détruite. Une opération qui entre pour la mairie dans une logique sociale et urbaine.


-Une logique sociale :

« En trente ans, l'occupation sociale de ces logements a beaucoup changé », indique-t-on à la mairie.
« Le taux de chômage a fortement augmenté et se situe autour de 20 % à Croix-Rouge.
Le problème de la conception de ces grands ensembles est qu'elle permettait à l'époque de concentrer un grand nombre de familles dans la même habitation (105 logements dans la tour, donc environ 300 personnes). Compte tenu des évolutions sociales évoquées, cette concentration n'est plus synonyme de progrès et de qualité de vie mais génère des dysfonctionnements évidents. »

-Une logique urbaine :

« Ce type d'immeuble ne répond plus aux attentes et besoins des habitants. En effet, ces immeubles sont imbriqués dans des systèmes de dalles, aussi bien pour les parkings souterrains que pour les centres commerciaux conçus en passerelles piétonnes au-dessus de la rue. »

Cet urbanisme de dalle a, pour la mairie, plusieurs conséquences :

« Tous ces éléments sont si bien imbriqués que si l'on démolit une partie, il faut tout démolir (en l'occurrence, la tour 53 Taittinger était imbriquée avec le centre commercial la Rafale et un parking souterrain en dalle- garage G4 situé sous l'ancienne place des facultés). Dans cette conception, les parkings souterrains sont le plus souvent inoccupés car leur accès n'est pas simple et ils sont également insécurisés (voitures brûlées,.). Quant aux centres commerciaux en passerelles, ils souffrent du manque d'accessibilité depuis la rue et du manque de visibilité pour le chaland. »

« Enfin, en terme de gestion des espaces extérieurs, ces quartiers connaissent de grandes difficultés. En effet, la délimitation des espaces publics et privés est souvent confuse. Les conséquences en sont que les espaces extérieurs sont souvent mal entretenus aussi bien sur l'espace public que sur l'espace privé. Au final, ces espaces sont dévalorisés et véhiculent une mauvaise image du quartier accompagnée d'un sentiment d'abandon, voire d'insécurité de la part des habitants. »

L'objectif du projet urbain est donc notamment de reprendre ces espaces extérieurs, de les clarifier dans leur usage et de mieux les délimiter ensuite physiquement dans leur aménagement. « L'avantage sera double : la gestion des espaces extérieurs sera simplifiée et donc de meilleure qualité, et le sentiment d'appartenance des habitants et de sécurité des passants sera plus fort. Au final, une meilleure image du quartier sera générée de façon globale ».

http://www.lunion.presse.fr/loc/20061129.UNA8022.html?0841

Citation :

Journal L’UNION édition de REIMS 29 novembre 2006

CROIX-ROUGE L'après tour Taittinger

La tour du 53 rue Pierre-Taittinger a vécu. A sa place, la ville, en concertation avec les organismes logeurs, la fac et les habitants, s'apprête à restructurer le secteur Eiseihower-Taittinger

«DÉSORMAIS il ne faudra plus dire que je suis la présidente de l'Amicale des locataires de La Rafale Université car la Rafale n'existe plus ! ».

Frappée au coin du bon sens, la réflexion de Mme Sage prouve, s'il en était que les habitants ont déjà tourné la page. La tour du 53 rue Taittinger est morte. Vive la rénovation du secteur.

Si des esquisses du projet de devenir du quartier Université ont été faites par les services de l'urbanisme (nos dessins), rien n'est figé ont promis les élus.

Cent cinq logements ont été supprimés. A la place devraient, sur le long terme, être édifiés 100 à 120 logements diversifiés permettant une mixité sociale, assurent les services de l'urbanisme qui insistent pour préciser que des entreprises de services seront intégrées en rez-de-chaussée des futurs immeubles ainsi que des services sociaux où/et d'aide à la personne.

« On espère même avoir un plot avec des bureaux pour avoir des emplois au cœur du quartier et on recherche des opérateurs intéressés » assurait même Éric Citerne, de l'Agence d'urbanisme. « L'université et les habitants seront associés à la réflexion » a promis de son côté le maire tandis que l'adjointe chargée du logement n'a pas hésité à qualifier de « nouveau plan Marshall » les différentes opérations de rénovation urbaine entreprises depuis quatre ans à Reims.

Reste à fixer les dates du programme de concertation.

Alain Moyat

Cordialement

fourmi

Mais, dans le même quotidien régional, même jour :

http://www.lunion.presse.fr/loc/20061129.UNA8186.html?0841

Citation :

« On va tous voter Le Pen » au 42 Poincaré
Les locataires du 42 rue Raymond-Poincaré vivent dans un bâtiment moins bien entretenu qu'un local à poubelles. Avec tapage nocturne quotidien.



Charmante vue quand on entre.


ILS vont tous voter Le Pen au 42 rue Raymond-Poincaré. Et ne s'en cachent pas.

« C'est garanti ! Moi, il y a déjà un moment que je le fais ». « Nous, c'est pareil ». « Pour qui d'autre voulez-vous qu'on vote ».

Les locataires de ce bloc d'Orgeval vivent dans un bâtiment qui ne serait même pas digne de servir de local à poubelles. Pas de porte d'entrée, pas de lumière, des fils électriques apparents, des graffitis obscènes du sol au plafond et un parfum d'urine. « L'autre jour, le médecin de garde est venu chez nous. Il m'a demandé comment on faisait pour vivre là-dedans ».

Tous se demandent comment on peut laisser des gens vivre là-dedans. « Comment peut-on permettre qu'on élève des enfants dans un tel cadre. La situation ne date pas d'hier. Il y a au moins cinq ans que l'immeuble est dans cet état ». S'il n'y avait que la crasse.

« Quasi tous les soirs, des jeunes du quartier viennent squatter le hall. Ils y font du tapage jusqu'à des 3 ou 4 heures du matin ». Dans les cinq étages de l'immeuble, les enfants ne peuvent pas dormir.

Drogue et capotes usagées

« Ils se droguent là, montent dans les étages et toquent aux portes en pleine nuit », racontent deux adolescents de l'immeuble. « Un matin, on a trouvé plein de crottes en bas de l'escalier, ils avaient fait là. Une fois, ma mère a mis la main sur préservatif accroché à la clenche de sa porte. Une capote avec ce qu'il faut dedans. Nos petits frères ne peuvent pas dormir et quand on sort dehors on se fait insulter », affirment les jeunes qui n'ont pas encore fini délinquant. Un miracle, selon leurs parents.

« Moi, ma mère est contente, je suis admis en seconde pour faire un bac scientifique. Plus tard j'aimerais travailler dans un laboratoire et vivre dans une petite maison dans le quartier le plus calme de Reims ». Il a 14 ans et encore des rêves malgré une enfance dans un quartier taudis.
« Moi, j'espère être maçon ou alors rappeur », lance l'un de ses copains. En attendant, ils vivent comme dans le Bronx new-yorkais de la grande époque.

A 17 heures, tous les volets sont bouclés : « Sinon on reçoit des pierres dans les vitres », assure une mère de famille. Les moins chanceux ont eu leur porte défoncée. « Moi, j'ai été cambriolée ». Les caves, privées aussi de lumière ne ressemblent plus à rien. Elles servent de squat à des choses qui ne se racontent pas. Certains locataires ont quand même osé des décorations de Noël au balcon mais la plupart ne veulent inviter personne de l'extérieur. Ils ont trop honte.

« Le soir, les jeunes fument leur shit dans l'escalier, la fumée passe sous nos portes. A tel point qu'on a l'impression qu'on se drogue à la maison ».
Des exemples de leur calvaire, ils en ont par dizaines. « Parfois ils entrent carrément avec leur scooter dans le hall. On entend aussi les courses poursuites avec la police ».

Ils restent au fond de leur lit. Peu osent se plaindre publiquement. Ils ont peur des représailles. L'un des locataires prévient : « Tant qu'ils auront tous la trouille, on vivra comme ça. Dans la m...»

Reportage : Catherine Frey et Benjamin Ségura

Ce quartier de Reims n'a pas encore fait l'objet de restructurations drastiques. On peut comprendre ce qu'en disent les habitants.... j'ai vécu dans ce contexte et puis donc témoigner de ces difficultés de vie au quotidien.....


Mais supposons alors que LE PEN soit élu.


LE PEN, un jour, a eu une altercation avec un jeune qu'il a qualifié de "rouquin" et de "pédé".

http://www.humanite.presse.fr/journal/2003-06-13/2003-06-13-373833

Qui me dit que, puisque les rouquins sont rejetés au seul motif qu'ils ont les cheveux roux, que le "rouquin" est forcément "pédé", qu'être homosexuel, aux yeux de LE PEN, étant une "tare", le gouvernement "Le Penien" ne trouvera pas une solution pour résoudre ce problème......

ET LA SOLUTION existe !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Citation :

LOI no 2001-588 du 4 juillet 2001 relative à l'interruption volontaire de grossesse et à la contraception
TITRE Ier : INTERRUPTION VOLONTAIRE DE GROSSESSE

..................

Article 11

« Art. L. 2213-1. - L'interruption volontaire d'une grossesse peut, à toute époque, être pratiquée si deux médecins membres d'une équipe pluridisciplinaire attestent, après que cette équipe a rendu son avis consultatif, soit que la poursuite de la grossesse met en péril grave la santé de la femme, soit qu'il existe une forte probabilité que l'enfant à naître soit atteint d'une affection d'une particulière gravité reconnue comme incurable au moment du diagnostic.

Il suffira de décréter qu'avoir les cheveux roux est une affection d'une particulière gravité reconnue comme incurable au moment du diagnostic pour que soit autorisée, jusqu'au moment où on apercevra la couleur des cheveux de l'enfant pas encore totalement sorti du ventre maternel, la mise à mort de cet enfant futur "rouquin", donc futur "pédé" donc futur "tare" pour une société décente !

Et LE PEN ne pourra que remercier Ségolène ROYAL qui, avec un quarteron d'autres femmes socialistes, a permis à ce texte d'exister.

Je vous laisse méditer sur ce qui peut VOUS attendre !!!!!!!!!!!!!!!

Cordialement

fourmi

L'UNION de REIMS du 1er décembre 2006


http://www.lunion.presse.fr/loc/20061201.UNA9082.html?1128

Citation :

« On n'est pas racistes on en a juste assez »

Il y a du mieux et du moins bien au 42 rue Raymond-Poincaré à Orgeval (voir notre article du 29 novembre).

Le mieux, c'est le retour de l'électricité dans les couloirs et dans les caves. « Ils sont aussi venus essayer un produit anti-tags, on a l'impression qu'ils vont s'occuper du bâtiment. Ca bouge. »

La porte n'est toujours pas en place mais Reims Habitat a prévenu que son remplacement prendra du temps. Le moins bien, c'est la réaction de certains jeunes du quartier à la suite de l'article : « On se fait traiter de racistes. On est insultés, menacés et on se fait cracher dessus. »


Si plusieurs locataires du 42 Raymond-Poincaré ont affirmé haut et fort qu'ils allaient voter Le Pen aux prochaines élections, ce n'est pas du tout par racisme, « ni parce qu'on le veut comme président ».

Ils ont affirmé cela parce qu'ils en ont assez de vivre dans ces conditions et de subir la loi violente de ces mêmes jeunes.


C.F.

LE PEN devenu le MONSTRE qu'on agite sous le nez des autorités pour avoir un minimum de sécurité, à défaut de bien-être...!!!!!!!!!!!

Il fallait l'imaginer !!!!!!!!!

Le peuple a de l'imagination

Méfiez-vous, Mesdames et Messieurs les "puissants" !

Cordialement

fourmi

En ce qui concerne l'avortement, je te l'ai déjà expliqué, la "particulière gravité" dont il est question est sous-tendue par des règles extrêmement rigides, et être roux ne posera jamais problème. Ce ne sont pas les politiques qui décident de ces choses-là. L'autonomie du champ médical est assez forte pour cela. Changer la définition de la "particulière gravité" est un parcours du combattant impossible: il faudrait que les médecins, les intellectuels, et autres, dont les hommes politiques, soient favorables aux changements. Or, plus le niveau d'éducation est élevé, moins on vote FN. Le risque encouru est donc minime.

Soit dit en passant, j'espère que Le Pen aura autant de voix qu'en 2002. Ce serait même génial s'il pouvait empêcher Sarko de passer au second tour...
J'ai cent fois plus peur de Sarko que de Le Pen. Ce dernier est un épouvantail à couillons, et ne sert qu'à faire voter pour les vrais extrêmistes tels que Sarko, alors la rengaine "attention, j'ai peur de Le Pen", non merci!

p.s: Soit dit en passant pour les incultes qui savent pas pour qui voter en vivant dans la misère, la gauche de la gauche leur apportera certainement plus de réponses que l'extrême-droite...

Citation :

En ce qui concerne l'avortement, je te l'ai déjà expliqué, la "particulière gravité" dont il est question est sous-tendue par des règles extrêmement rigides, et être roux ne posera jamais problème. Ce ne sont pas les politiques qui décident de ces choses-là. L'autonomie du champ médical est assez forte pour cela. Changer la définition de la "particulière gravité" est un parcours du combattant impossible: il faudrait que les médecins, les intellectuels, et autres, dont les hommes politiques, soient favorables aux changements. Or, plus le niveau d'éducation est élevé, moins on vote FN. Le risque encouru est donc minime.

Je ne vous ai toujours pas autorisé à me tutoyer, vous fais-je une fois de plus cordialement remarquer.

Vous pouvez me dire ce que vous voulez, mais les FAITS parlent , EUX, sans trahir.


http://www.premier-ministre.gouv.fr/information/les_dossiers_actualites_19/trentieme_anniversaire_loi_veil_442/ivg_histoire_une_revolution_52028.html

Citation :

1975 : la légalisation de l’IVG avec la loi du 17 janvier 1975 dite « loi Veil »

La loi du 17 janvier 1975, dite "loi Veil" ouvre la possibilité aux femmes de mettre fin à leur grossesse pour des motifs non thérapeuthiques. Il s’agit d’une dérogation à la loi de 1920 pénalisant l’avortement dans le cas où la mère connaît une "situation de détresse". Cette loi actualise de plus le recours à l’IMG. Adoptée dans un contexte politique tendu et seulement pour 5 ans, elle est prorogée en 1979.

En 1975, si je lis bien, l'IVG est "autorisé" lorsque la femme est en "situation de détresse".

Les débats de cette époque , oraux mais non repris par la loi, décrivaient ces situations de détresse : viol et inceste !

En 2001, si je lis bien, les délais sont prolongés (12 semaines qui sont en fait 14 semaines après l'interruption des règles).... ce qui conduit certains médecins à refuser de voir passer devant eux des fragments de foetus découpés in-utéro... ou déchiquetés par aspiration, puisque le diamètre des canules d'aspiration est inférieur à celui de la tête du foetus.

http://www.cngof.asso.fr/D_PAGES/PUFIC_17.HTM

En 2001, si je lis bien, les foetus dont on pense qu'ils sont atteints d'une affection d'une particulière gravité réputée incurable au moment du diagnostic peuvent être tués à tout moment de la grossesse.

Je pense que vous savez que, depuis la loi de juiollet 2001, les deux catégories d'affections qui ont ainsi été "éliminées" sont la trisomie 21 et le spina bifida.

http://www.sosbebe.org/handicap/img.html

http://www.famili.fr/cgi-bin/WebObjects/Famili.woa/wa/page_id_eq_3396_and_id1_eq_4716_and_id2_eq_116.html

Or, nous avons TOUS autour de nous des personnes adultes atteintes de ces affections et je ne pense pas que VOUS auriez envie de tuer l'une ou l'autre aujourd'hui......

Je répète et maintiens que la loi de 1975 qui, si vous la lisez bien, mettait en PRIORITE la nécessité impérative d'enseigner la CONTRACEPTION, a été PERVERTIE pour servir des objectifs EUGENISTES, consciemment oui non. .

Il faut une dose de "mauvaise foi" particulièrement développée pour se refuser à admettre cette évidence.



Nous avons eu aussi un autre exemple de dérive du même style avec le mot "pédophile" que des intellectuels post-soixante-huitards ont manipulé à un tel point que Daniel Cohn Bendit a pu trouver protection derrière le "jeu de mots" fait par ses groupuscules .

http://fr.wikipedia.org/wiki/Daniel_Cohn-Bendit

Citation :

En 2001, l’actualité le remet au premier plan avec la publication d'extraits de son livre Le Grand Bazar (Belfond, 1975) où il raconte ses activités d’aide-éducateur dans un jardin d’enfants autogéré de Francfort.

Il écrivait en particulier : « Il m'était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m'avez-vous choisi, moi, et pas d'autres gosses ? Mais s'ils insistaient, je les caressais quand même ».

Il ajoutait encore : « J'avais besoin d'être inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi, et je faisais tout pour qu'ils dépendent de moi ».

Ces passages sont interprétés par certains, 25 ans plus tard, comme un acte de pédophilie.

Cohn-Bendit se défend, expliquant que le texte n’avait pas fait scandale à l’époque et qu’aucune plainte d’enfant ou de parent n’avait été déposée.

« Prétendre que j’étais pédophile est une insanité. La pédophilie est un crime. L’abus sexuel est quelque chose contre lequel il faut se battre. Il n’y a eu de ma part aucun acte de pédophilie. » Des parents de ces « crèches alternatives » ont d’ailleurs apporté leur soutien au leader écologiste [...]. « Nous savons qu’il n’a jamais porté atteinte à nos enfants », écrivent-ils. Les enfants eux-mêmes rejettent dans cette lettre « toute tentative de rapprochement entre Daniel Cohn-Bendit et des personnes coupables d’abus sexuels sur enfants » (extrait de l’article de Paul Quinio, Libération, 23 février 2001).

http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9dophilie

Citation :

Dérive sémantique

Si le mot pédérastie existe depuis 2 500 ans, le mot pédophilie date des années 1970.

Il a été créé par un courant socio-politique post-soixante-huitard, proche de « l'éducation alternative », et qui réfléchissait sur la place de l'enfant dans la société et les relations adultes-enfants. On y trouvait des sociologues, des philosophes, des architectes, des écrivains, des éducateurs, des enseignants, des médecins, qui avaient en commun une curiosité pour les organisations sociales qui mettaient l'enfance au centre de leurs préoccupations.

Mais là n'est pas le thème de ce topic !!!!!!!!!!!!

Il est question de ce Front National qui est devenu, pour le peuple, une "valeur refuge" pour les plus déshérités du peuple français.

Il est question de la "lenteur" des transformations sociales qui, si elles apportent du "bénéfique", ne sont pas assez rapides au gré des personnes les plus concernées.

Il est question du DANGER que pourrait représenter, pour un pays, l'avènement d'un parti fasciste au pouvoir.

Nous avons POURTANT déjà eu trois exemples contemporains particulièrement proches et dramatiques : le nazisme et Adolf Hitler, le franquisme et Franco, les colonels grecs (la Junta) et Papadopoulos....

Cela ne suffit-il donc pas ?????

Cordialement

fourmi