Téléchargements ?

Petit sondage à la noix à partir de cet article... et + largement, quelques réflexions ou questions.
L'industrie musicale n'est-elle pas au fond coupable de ce qui lui arrive, les titres téléchargés via le P2P seraient-ils achetés si le P2P n'existait plus, les protections anti-copie de cd ou les DRM sur les fichiers téléchargés sont-ils une atteinte insupportable aux libertés ou un moyen tout à fait compréhensible de se défendre pour les maisons de disques ???? etc. etc.

Citation :

Les procès n'enrayent pas le téléchargement illégal de musique
07.02.07 | 14h34

par Yinka Adegoke

NEW YORK (Reuters) - En dépit des procès gagnés contre des personnes pratiquant le téléchargement illégal de musique et des accords passés par les majors du disque avec des sites communautaires comme YouTube, le piratage en ligne coûte encore des millions de dollars à l'industrie de la musique.

C'est un enjeu crucial pour le secteur qui cherche désespérément à doper ses revenus grâce au téléchargement légal pour compenser le déclin des ventes de CD qui ont baissé de 23% entre 2000 et 2006.

Chaque mois, plus d'un milliard de morceaux sont échangés illégalement et gratuitement, estime Eric Garland, du cabinet de consultants internet Big Champagne. A titre de comparaison, iTunes Music Store d'Apple, qui réalise plus de 70 % des ventes de musique en ligne aux Etats-Unis, a vendu à peine plus de deux milliards de chansons depuis son lancement en 2003.

Ces plates-formes d'échanges de fichiers illégaux, également appelées peer-to-peer (P2P), telles que Gnutella ou BitTorrent, relient entre elles des millions d'ordinateurs personnels et permettent aux internautes anonymes d'échanger gratuitement des chansons sur internet.

Depuis que les professionnels marquent des points en justice contre les internautes, la croissance du nombre de personnes se connectant à des sites P2P a considérablement ralenti mais n'est pas enrayée pour autant.

Le nombre de foyers américains utilisant une plate-forme P2P a augmenté de 7% en 2006, quand, dans le même temps, les téléchargements illégaux ont crû de 24%, indique Russ Crupnick, analyste pour le cabinet de recherche NPD.

"Le P2P reste un problème inacceptable", commente Mitch Bainwol, président de la RIAA (Recording Industry Association of America). "Les gens qui se livrent à ce genre de pratique en font toujours davantage".

La RIAA a réussi à faire fermer les sociétés derrière des sites de partage, comme Grokster et Kazaa. Mais la fermeture des entreprises qui proposent ces logiciels ne signifie pas toujours pour autant la mort du réseau.

"Si vous avez le logiciel, vous pouvez toujours partager les fichiers. Le jugement signifie simplement que vous n'avez plus le droit de distribuer (l'application)", explique Wayne Rosso, ex-directeur exécutif de Grokster.

PIRATES PARTENAIRES

En 2006, l'industrie de la musique s'est focalisée sur des sites web comme MySpace, le site communautaire de News Corp ou YouTube, la plate-forme de partage de fichiers vidéo de Google.

Universal Music, filiale de Vivendi, Warner Music et Sony BMG, ont signé des accords de partage de revenus avec YouTube qui permettent aux internautes d'échanger légalement leurs musiques.

En 2006, Universal Music a également entrepris une action en justice contre MySpace pour avoir autorisé ses utilisateurs à échanger les oeuvres de ses artistes, un procès dont le groupe espère qu'il se terminera par un accord.

Les labels sont désormais devenus des partenaires de "ceux qu'ils avaient l'habitude de traiter de pirates", poursuit Rosso. Pour la raison qu'une société comme YouTube compte des dizaines de millions de fans de musique que les labels espèrent transformer en clients.

"D'un côté, les labels disent: il s'agit de piratage donc il faut nous protéger", analyse Jon Diamond, directeur général de la plate-forme musicale ArtistDirect. "Mais de l'autre, c'est leur public et ils veulent parvenir à monétiser cette audience."

MediaDefender, le spécialiste antipiratage acquis par ArtistDirect, cible les utilisateurs de réseaux P2P et les réoriente vers des vidéos publicitaires quand ils cherchent sur internet des fichiers à télécharger.

Même si le secteur pouvait éradiquer le téléchargement illégal, rien ne prouve que les internautes qui échangent gratuitement des chansons se reporteraient sur les sites légaux.

La stratégie de l'industrie consiste à ralentir la vague du P2P et espérer qu'en fin de compte, les ventes de musique numérique compenseront leur manque à gagner.

"Evidemment, c'est un sérieux obstacle à la croissance du marché légal", reconnaît Larry Kenswil, responsable du numérique chez Universal Music. "Mais la croissance du marché légal a été spectaculaire, affirme-t-il. "Le P2P ne va pas disparaître, mais les problèmes qui y sont liés vont s'éloigner de nous."

http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-29667716@7-37,0.html

Dangereux ton sondage... Quand on voit les fortunes que depensent les industrie du disque dans la pub, je ne pensent pas qu'elles soient au bord du gouffre. La musique commerciale qu'elles nous font bouffer ne donne pas forcement envie non plus de respecter les droits d'auteurs, m'enfin.

Je rigole aussi doucement quand j'entends un magna du disque ou du cinéma se plaindre qu'à cause des téléchargements illégaux, ils ont moins de moyens pour produire de beaux films !
Après je pense au salaire de certains acteurs ...

Concernant le respect des droits d'auteurs, quand on voit un Jhonny qui refuse le prinçipe de solidarité, je ne vois pas pourquoi moi je devrais être solidaire de lui (enfin, j'aime pas sa musique, c'est un exemple hein lol).

Un truc m'étonne, avant les P2P, on me prêtait un cd et je le passais sur cassette audio ou j'enregistrais de la radio. Pour les films, on faisait marcher le magnéto et pourtant personne n'en faisait tout un foin.

NB: Je me demande ce que représente ce manque à gagner ?

Savinien a écrit:

NB: Je me demande ce que représente ce manque à gagner ?

Parfois je me demande meme si ca représente vraiment un manque à gagner, ou plutot un gain !

Prenons l'exemple des séries télévisées. Ces deux dernières années, en Europe, c'est devenu un phénomène assez fou. Il y a un business enorme qui s'est développé là-autour. Mais qu'est-ce qui est la cause principale de cet engouement ? Les gens qui se sont mis à télécharger les séries US, soit parce que les saisons arrivent ici super en retard, soit parce que ca ne passait pas du tout. Le meilleurs exemple, c'est Desperate Housewives, tout le monde en parlait alors que meme C+ ne l'avait pas encore diffusée... il y avait une telle attente que les DVD sont sortis avant les diffusions sur des chaines non cryptées.
Lost, Prison Break, sans le succès qu'ils ont connu grace au téléchargement je suis persuadée qu'on ne les aurait pas vu ici, ou du moins pas en prime-time.

Maintenant on a Heroes, qui va débarquer sur M6, c'est une des séries les plus téléchargée en ce moment. Pour les chaines qui achètent ces séries, c'est un test de popularité assez incroyable.

https://www.dailymotion.com/visited/search/south%2Bpark/video/xvtqf_le-telechargement-cest-mal
je suis sûr que cette video fera prendre conscience a chacun d'entre vous la gravité du téléchargement.

Tiens je reviens de Paris et, dans le métro, on voit partout des affiches pour le festival du film d'aventure (ou qq chose comme ca). Y a 3 "thèmes" sur l'affiche, le 3ème c'est Heroes la série évènement...

Vous trouvez pas qu'il y a un léger malaise, là ? Surtout en France. Pays où apparemment les lois sont assez fortes contre le téléchargement. Et là un festival met en avant une série qui, sans le téléchargement, serait complètement inconnue du public français.

Stéphane,

Cette vidéo m'a surtout fait prendre conscience de l'horreur que vivent les "stars" de la création musicale, du bien-fondé de la demande de Johnny hallyday pour devenir citoyen suisse afin de ne plus payer que 400 000 euros d'impôts plutôt que 2 000 000 d'euros en France, de ces contructions pharaonniques réalisées par ces "vedettes", de ci, de là, sur la planète, pendant que, sur les bords du canal Saint-Martin, on propose comme logements à des SDF une caserne désaffectée........ pendant que des milliers de logements de fonctions d'ex-instituteurs (devenus professeurs des écoles) restent vides et chauffés avec des municipalités qui paient des taxes d'habitation pour des logements vides !

Merci Stéphane.

Cordialement

fourmi

fourmi a écrit:

la demande de Johnny hallyday pour devenir citoyen suisse

Vous sortez ca d'où ?

Toutes mes excuses, Mawak,

Johnny tente d'obtenir la nationalité belge et veut s'installer en Suisse pour voir ses impôts réduits de manière conséquente après avoir rempli ses comptes en banque avec les recettes que lui ont offert ses admirateurs et admiratrices dont la plupart sont français, un certain Raffarin n'ayant même pas hésité à médiatiser son admiration pour cette idole.

http://www.showbizz.net/section_stars.php?article=20070227100303

Cela vous convient-il mieux ?

Cordialement

fourmi

Non, je respecte les droits d'auteur des artistes.

Pour le reste il m'arrive de graver des cd ici et là, ou de les copier sur mini discs mais c'est plutôt rare.

fourmi a écrit:

Cela vous convient-il mieux ?

Pas mal Vous oubliez de préciser que pendant de très nombreuses années il a payé ses impots en France. Mais ce n'est pas le débat.


Sinon pour répondre à la question : je dl quasi uniquement des ép de séries TV.

En Suisse, le dl est toléré. Mais pas le fait de fournir (l'upload). Ce qui rend la plupart des échanges de fichiers par P2P illégaux vu qu'une personne qui dl fait (quasi obligatoirement suivant le logiciel) de l'ul en parallèle.

Citation :

Sinon pour répondre à la question : je dl quasi uniquement des ép de séries TV.

En Suisse, le dl est toléré. Mais pas le fait de fournir (l'upload). Ce qui rend la plupart des échanges de fichiers par P2P illégaux vu qu'une personne qui dl fait (quasi obligatoirement suivant le logiciel) de l'ul en parallèle.

Pardon ??????????????????????

Cordialement

fourmi

Uh ?

MawaK a écrit:

Uh ?

Ul et dl, ok je pige, mais uh ?


Peut-être Fourmi n'a-t-il pas compris qu'il s'agissait des abréviations d'upload et download ?

Ah pardon

Dl c'est download, téléchargement.
Ul c'est upload, l'inverse du téléchargement, c'est à dire fournir les fichiers.

Le P2P c'est une abréviation de Peer to Peer, qui ne fait que décrire le mode d'échange de fichier.

Ca se place en "opposition" au mode client/serveur : pour ce dernier, on a UN serveur, et de multiples clients qui viennent se servir sur ce serveur. C'est un système centralisé et qui concentre toute la charge en un seul endroit.

A l'inverse, le P2P est un système qui transforme chaque client en serveur aussi. On a les deux rôles. Les fichiers sont en général divisés en plein de petits morceaux ce qui fait que quand on téléchargent sur un système P2P, on télécharge plein de petites pièces d'un fichier chez plein de personnes différentes en même temps.

En enfin, petit rappel, le P2P n'est donc qu'un outil. Cet outil n'est pas illégal. Ce sont les types de fichiers qu'on s'y échangent qui peuvent l'être.


Et euh... uh c'est un peu l'équivalent de ce smiley :

Citation :

Peut-être Fourmi n'a-t-il pas compris qu'il s'agissait des abréviations d'upload et download ?

Non , fourmi n'avait pas compris....

Citation :

Ah pardon

Dl c'est download, téléchargement.
Ul c'est upload, l'inverse du téléchargement, c'est à dire fournir les fichiers.

Le P2P c'est une abréviation de Peer to Peer, qui ne fait que décrire le mode d'échange de fichier.

Ca se place en "opposition" au mode client/serveur : pour ce dernier, on a UN serveur, et de multiples clients qui viennent se servir sur ce serveur. C'est un système centralisé et qui concentre toute la charge en un seul endroit.

A l'inverse, le P2P est un système qui transforme chaque client en serveur aussi. On a les deux rôles. Les fichiers sont en général divisés en plein de petits morceaux ce qui fait que quand on téléchargent sur un système P2P, on télécharge plein de petites pièces d'un fichier chez plein de personnes différentes en même temps.

En enfin, petit rappel, le P2P n'est donc qu'un outil. Cet outil n'est pas illégal. Ce sont les types de fichiers qu'on s'y échangent qui peuvent l'être.

Fourmi vous sait gré de vos explications qui , malheureusement, n'ont fait qu'ajouter à son ignorance car les termes techniques que vous utilisez lui sont "tétrangers".

Certes, il vous remercie de vos louables efforts pour tenter de maintenir à niveau un "vieux" dont on se demande même pourquoi il vit encore et se permet d'intervenir, alors que sa place est, à l'évidence, dans une maison de ratraite pour "séniles" ou personnes atteintes de la maladie d'Azheimer"... mais , pour autant, il ne comprend pas votre langage...

Mais , au fait, comprenez-vous le sien ?????

Cordialement

fourmi

keskidi

fourmi a écrit:

Mais , au fait, comprenez-vous le sien ?????

Je n'ai quasiment rien compris à votre message, effectivement

Par contre vos histoires d'helzeimer, excusez moi mais c'est un peu de l'excuse bidon. Mon père a un an de plus que vous, il maitrise le sujet (P2P, réseau & co) bien mieux que moi. On est pas bon à jeter à la petite soixantaine, mon bon Monsieur Fourmi. J'ai aussi une grande tante de 80 ans qui s'est mise à l'informatique récemment pour trier ses couvercles de crème à café.

Donc... qu'est-ce que vous n'avez pas compris ? Si vous ne le dites pas, on va pas avancer

fourmi a écrit:

Fourmi vous sait gré de vos explications qui , malheureusement, n'ont fait qu'ajouter à son ignorance car les termes techniques que vous utilisez lui sont "tétrangers".

Tout dépend de votre base de connaissances en la matière.
Avez-vous déjà téléchargé des fichiers musicaux ou vidéos ?


Ce dont parle Mawak (le P2P), ce sont des sortes de logiciels gratuits qu'on installe sur le disque dur de son ordinateur.
Et, pour schématiser, les fichiers (morceaux de musique, films, clips vidéos) contenus dans chaque disque dur d'ordinateur ayant ce logiciel sont mis à disposition de tous les ordinateurs équipés du logiciel.
Un internaute peut donc à la fois télécharger des morceaux qui se trouvent sur le disque dur d'un autre internaute (download) et laisser l'autre internaute télécharger les siens (upload).
Il s'agit d'un véritable échange, en somme.

Mais la loi, hypocrite, en vigueur en Suisse pénalise semble-t-il uniquement l'upload, c'est à dire le fait de mettre à disposition d'autres internautes des morceaux dont les droits ne nous appartiennent pas.
Pas de télécharger (download) des morceaux piochés sur un autre ordinateur, dont on ne détient pas non plus les droits, par définition.

Avez-vous compris ou mon langage est-il encore trop abscons ?

sympatik a écrit:

Ce dont parle Mawak (le P2P), ce sont des sortes de logiciels gratuits qu'on installe sur le disque dur de son ordinateur.

Euh j'ai expliqué plus haut ce qu'est le P2P, c'est pas des logiciels
(et à part ca, il y a aussi des versions payantes de certains logiciels d'échanges basés sur le P2P)

Citation :

Mais la loi, hypocrite, en vigueur en Suisse

Sympatik, merci de ne pas raconter n'importe quoi et, pourquoi pas, de te renseigner avant de dire des énormités. Cette loi n'est pas hypocrite, elle est simplement vieille et pas encore mise à jour en accord avec les technologies actuelles. Et soit dit en passant, elle n'a rien d'hypocrite en soit, elle estime simplement que la copie privée n'est pas un délit...

MawaK a écrit:

Euh j'ai expliqué plus haut ce qu'est le P2P, c'est pas des logiciels

Euh... n'oublie pas que j'ai essayé de schématiser !
Et pour les réseaux P2P que j'ai pu utiliser (Kazaa & Soulseek), il s'agit bien de programmes à installer sur son disque dur, comme un logiciel, avant de pouvoir échanger des fichiers avec d'autres internautes.

Mawak a écrit:

Sympatik, merci de ne pas raconter n'importe quoi et, pourquoi pas, de te renseigner avant de dire des énormités. Cette loi n'est pas hypocrite, elle est simplement vieille et pas encore mise à jour en accord avec les technologies actuelles. Et soit dit en passant, elle n'a rien d'hypocrite en soit, elle estime simplement que la copie privée n'est pas un délit...

Scuse, je n'avais pas compris le sens de ton post précédent, je croyais que tu jugeais la loi suisse un peu hypocrite (puisque celui qui copie met automatiquement à disposition des autres des copies, donc tout le monde est coupable).

Pour le reste, sans vouloir changer de débat et noyer Fourmi, je trouve ta définition de la copie privée assez étrange, si tu la limites au P2P.
Cela recoupe autre chose, à mes yeux, en l'occurence le fait de sauvegarder un cd ou un dvd qu'on a légalement acheté en magasin et dont on détient donc les droits.
De ce point de vue, la loi française est scandaleuse puisqu'elle a donné raison aux éditeurs qui empêchent une telle sauvegarde via un dispositif anti-copie (dont les effets indésirables pour la simple lecture sont avérés, cela fait planter des ordis ou des lecteurs dvd !).

sympatik a écrit:

Euh... n'oublie pas que j'ai essayé de schématiser !

Oui ben c'est faux, cf mon explication plus haut

Le terme P2P ne définit que le moyen qui te permet d'échanger des données. C'est un terme aussi technique que IP, FTP, HTTP, TCP/IP, etc.

Ensuite, des logiciels utilisent ce moyen pour te permettre d'échanger des fichiers. Comme d'autres utilisent le FTP. Mais le FTP est un système client serveur, donc centralisé et qui peut etre arrêter hyper facilement (contrairement au P2P).

Citation :

Scuse, je n'avais pas compris le sens de ton post précédent, je croyais que tu jugeais la loi suisse un peu hypocrite (puisque celui qui copie met automatiquement à disposition des autres des copies, donc tout le monde est coupable).

Non elle peut pas être jugée hypocrite vis à vis de ca, puisqu'elle est simplement trop vieille et ne prend pas en compte le P2P.

Citation :

Pour le reste, sans vouloir changer de débat et noyer Fourmi, je trouve ta définition de la copie privée assez étrange, si tu la limites au P2P.

Je ne vois pas où j'ai dit que la copie privée se limitait au P2P. Le P2P n'a strictement rien à voir en soit avec la copie, privée ou non. Encore une fois, c'est simplement une technique d'échange de données (fichiers ou autre). J'ai simplement dit que la loi suisse actuellement en vigueur, elle, se borne à définir l'utilisation générale des copies privées. Et, à défaut d'autre chose, c'est celle-ci qui "règle" l'échange de fichiers informatique (que ca soit par P2P ou n'importe quel autre forme d'échange, donc copie de CD, sur clé USB, whatever)

Citation :

Cela recoupe autre chose, à mes yeux, en l'occurence le fait de sauvegarder un cd ou un dvd qu'on a légalement acheté en magasin et dont on détient donc les droits.

Mais ca concerne énormément de choses, qui n'ont pas forcement à voir avec l'informatique. A une époque c'était la copie sur K7 audio ou video, ou la photocopie de livre. (d'ailleurs la loi suisse en question visait à légiférer sur ce genre de choses)

Pour les DRM dont tu parles, bonne nouvelle, les majors sont en train de faire machine arrière. Meme si c'était très facile à faire sauter.