Allez, depuis le temps que je suis inscrit, je peux bien me présenter.
Je m'appelle censured, j'aurai 24 ans ce mois-ci et je suis employé/salarié dans une entreprise d'informatique. Mon domaine, c'est plutôt la conception. Le cocooning commence à me gaver, je suis peut-être un peu "bohème" mais je veux devenir un errant. Alors cette année, j'irai outre mère, et j'inscrirai mes pas sur la terre rouge de Bolivie, parfois dans le sable ou le desert de sel, et je m'inscrirai par là-même l'existence. Le "leitmotiv" du voyageur d'Antonio Machado en tête : "voyageur, il n'y a de chemin que celui que l'on fait en marchant". C'est la vie.
Mon rapport à la politique est à la fois simple et compliqué, je ne le comprends pas tous les jours moi-même. Mais dans l'ensemble, on peut dire que je préfère l'art de se gouverner soi-même à "l'art de se gouverner la société". Je ne suis donc pas autrement politique, je mène la petite mienne au quotidien (puisque je ne suis pas un ermite) ; c'est de cette façon que je participe de chacun de ceux que je rencontre. Et là ! Eh bien, j'ai tendance à me comporter comme un taon qui dérange - j'aime ça.
Puis, j'aime Kierkegaard, Foucault et Luther surtout. Assez Dante, Goethe, Rimbaud (un errant). Et surtout pas les choux de bruxelles - berk.
Bon, bonne nuitée, les djeunz.
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, heureux de te connaitre. Attention à ce voyage existentiel tout de même, finir comme Rimbaud mort c'est la recherche humaine. Finir comme Rimbaud vivant, c'est le rejet humain.
