Il n'y a aucun suspense, honnêtement.
Ce sera Fillon, l'homme de dossiers, besogneux et sans grand charisme, pour ne pas faire trop ombrage au "grand" Nicolas.
Lequel jouera à mon avis une partition bien différente de celle de Chirac et apparaîtra souvent à la télé (pas que le 14 juillet et le 31 décembre), j'en prends le pari.