Vers une levée du blocus de Cuba ?

Cuba exerce un embargo à l’encontre des USA depuis maintenant plusieurs décennies. Malgré l’isolement imposé par son puissant proche voisin, le régime étasunien avait jusqu’à ces temps derniers pourtant réussi à tenir le coup.
Avec une monnaie au rôle marginal dans l’économie mondiale, sans armée significative l’aidant à s’imposer, avec une diplomatie faible et notamment pesant peu à l’ONU, sans atout particulier, les USA parvenaient néanmoins à se développer quelque peu.

Mais, les pressions de Cuba auront finalement eu raison de cette résistance : l’économie étasunienne cède sous les difficultés extérieures ; le modèle économique défendu par les USA est en déroute.
Alors, parmi les pays aux positions politiques les plus modérées, des voix s’élèvent pour demander à Cuba de bien vouloir desserrer son embargo envers les USA. En contrepartie à l’acceptation d’un statut de vassal, Cuba pourrait accepter le repentir de la nation étasunienne.

Bonjour Sandra,

Dans le même temps, Chypre retrouve la paix...

Dans le même temps, la Corée du Nord quitte la liste des pays potentiellement terroristes...

Dans le même temps, nous en sommes à une Union pour la Méditerranée et à un G 20...

Etc...etc...

C'est enfin l'"Apocalypse" tant annoncée et tant attendue ... où chacun va reconnaître en tout autre son "alter ego". (en grec, "apocalypse" signifie "dévoilement, révélation").

Cordialement

Michel FOURNIER

Salut à toi, Fourmi.

Salut à toi Sandra...

Mais tu sembles me "découvrir"....

Je suis présent sur ce forum depuis son origine....

Je suis ravi de constater qu'il n'est pas tout à fait désert...

Cordialement

Michel

PS .....

Le dernier courrier en date que j'ai envoyé à Monsieur Sarkozy :

Michel FOURNIER AG. DEKA – 70012 HERAKLION – KRHTH GREECE ( : (00.30).28.92.03.10.89. email : fournier@otenet.gr Gnvqh sauton

Ag. Deka le 16 octobre 2008


Monsieur Sarkozy,

Monsieur le Président de la République,

Monsieur le Président de l’Union européenne,


Le 5 octobre dernier, je vous adressais un courrier où je faisais référence à l’article L143-1 de la Loi n° 73-4 du 2 janvier 1973

J’ajoutais ceci : « C’est par ce texte que, en 1973, l’Etat français, alors dirigé par Georges Pompidou, a mis OFFICIELLEMENT entre les mains des banques et autres organismes financiers les salaires des salariés… »
J’ajoutais aussi : « Depuis lors, nous n’avons pu que constater que ces mêmes organismes financiers, disposant de capitaux massifs, renouvelés et garantis par les travailleurs, se sont mis à spéculer HONTEUSEMENT, allant même jusqu’à demander aux travailleurs de payer la gestion de leur propre argent dont ils ne peuvent même plus disposer librement. »

Le 3 janvier 1973, le lendemain donc, une autre loi définissait le statut de la Banque de France. Son article 4 précisait que « la politique monétaire est arrêtée par le gouvernement », et son article 19 stipule que « l’Etat peut bénéficier de prêts ou d’avances de la part de la Banque de France ».
L’Etat gérait ainsi, en principe, les fonds déposés par les citoyens (même si ce n’était pas toujours de leur plein gré), en toute souveraineté et les « politiques » pouvaient, de ce fait, accomplir leur mission au service du peuple qui les avait élus….

Puis arrive 1992 et le fameux Traité de Maastricht.

Son article 104 stipule : « Il est interdit à la BCE et aux banques centrales des Etats membres d’accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions ou organes de la Communauté, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publiques des Etats membres . »

L’article 107 stipule : « Ni la banque centrale européenne, ni une banque centrale nationale, ni un membre quelconque de leurs organes de décision ne peuvent solliciter ni accepter des instructions des institutions ou organes communautaires, des gouvernements des Etats membres ou de tout autre organisme. »

Cela signifie que les gouvernements n’ont plus le droit de donner des directives aux banques centrales nationales. Il faudra donc supprimer l’article 4 de la loi de 1973 qui stipule que « la politique monétaire est arrêtée par le gouvernement », supprimer aussi l’article 19 qui précise que « l’Etat peut bénéficier de prêts ou d’avances de la part de la Banque de France ».
Par ce remarquable procédé qui semble avoir échappé à la vigilance des « politiques », les Etats se sont vus dépossédés des moyens élémentaires d’action pour mettre en œuvre les politiques que les peuples avaient souhaité voir mettre en place….

Par ce remarquable procédé, les « politiques » n’ont plus eu d’autre alternative que de trouver des fonds auprès de la BCE qui, elle-même, échappait à leur contrôle…. et se trouvait entre d’autres mains très intéressées par ces capitaux considérables…

Par ce remarquable procédé, les Etats ont vu se créer une « dette » dont ils parviennent à peine, au fil des ans , à payer les intérêts….


Les peuples ont compris les mécaniques qui régissent cet abominable système, désormais, et il reste à régler la question de savoir si les « politiques » sont simplement « responsables » ou , plus gravement, « coupables » ????


Nous saurons très vite , sachez-le, quelle sera la réponse définitive à cette question…. car aucune question ne reste à jamais sans réponse…. (on connaît, par exemple, aujourd’hui la réponse à la question de savoir comment Philippe de Dieuleveut était mort en 1985)… et de cette réponse peuvent découler des faits « apocalyptiques »… pour certains, à moins que….. !

Avec mes salutations humanistes et fraternelles

Michel FOURNIER

fourmi a écrit:

... Mais tu sembles me "découvrir".... ...

Non. Rassure toi. J'ai écrit cela juste pour être accueillante.



A plus.