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| France, je te hais ! | |
| | Auteur | Message |
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fourmi second secretaire
Nombre de messages : 877 Age : 75 Localisation : Agii Deka (Crète) Date d'inscription : 21/12/2005
| Sujet: France, je te hais ! Mer 6 Jan 2010 - 12:10 | |
| LA FRANCE est le MODELE à ne PAS SUIVRE !
]]http://news.fr.msn.com/m6-actualite/france/photo.aspx?cp-documentid=151397905&page=1
Plus incompréhensible et plus cruel encore en apparence que tous les autres, l'assassinat d'un enfant par sa mère soulève toujours une vive émotion, comme en témoigne la récente affaire "Typhaine", ou encore celle des "bébés congelés". Crime tabou entre tous, il reste bien souvent au-delà des explications rationnelles qui peuvent parfois être apportées : endettement, troubles psychologiques, pulsions suicidaires ... Voici quelques portraits de mères qui ont commis l'irréparable.
Cette société française est réellement totalement FOLLE et les françaises et françaises qui y résident sont décidément TOTALEMENT INCOHERENTS, à l'image des politiques qui les gouvernent.
Pourquoi s'étonner de voir des femmes commettre des crimes que la société les invite à faire au quotidien ????????
Prenons les faits tels qu’ils sont : Loi Veil de 1975 : http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_Veil . Objectif ... promouvoir la CONTRACEPTION en autorisant dans des cas graves l’avortementhttp://www.assemblee-nationale.fr/histoire/interruption/sommaire.aspArticle premier. La loi garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie. Il ne saurait être porté atteinte à ce principe qu'en cas de nécessité et selon les conditions définies par la présente loi.Art. L. 162-1. - La femme enceinte que son état place dans une situation de détresse peut demander à un médecin l'interruption de sa grossesse. Cette interruption ne peut être pratiquée qu'avant la fin de la dixième semaine de grossesse.Art. 10. L'article L. 647 du code de la santé publique est remplacé par les dispositions suivantes : " Art. L. 647. - Sans préjudice des dispositions de l'article 60 du Code pénal, seront punis d'un emprisonnement de deux mois à deux ans et d'une amende de 2.000 à 20.000 F ou de l'une de ces deux peines seulement, ceux qui, par un moyen quelconque, auront provoqué à l'interruption de grossesse, même licite, alors même que cette provocation n'aurait pas été suivie d'effet. " Seront punis des mêmes peines ceux qui, par un moyen quelconque, sauf dans les publications réservées aux médecins et aux pharmaciens, auront fait de la propagande ou de la publicité directe ou indirecte concernant soit les établissements dans lesquels sont pratiquées les interruptions de grossesse, soit les médicaments, produits et objets ou méthodes destinés à procurer ou présentés comme de nature à procurer une interruption de grossesse. " En cas de provocation, de propagande ou de publicité au moyen de l'écrit, même introduit de l'étranger, de la parole ou de l'image, même si celles-ci ont été émises de l'étranger, pourvu qu'elles aient été perçues en France, les poursuites prévues aux alinéas précédents seront exercées contre les personnes énumérées à l'article 285 du Code pénal, dans les conditions fixées par cet article, si le délit a été commis par la voie de la presse, et contre les personnes reconnues responsables de l'émission ou, à leur défaut, les chefs d'établissements, directeurs ou gérants des entreprises ayant procédé à la diffusion ou en ayant tiré profit, si le délit a été commis par toute autre voie." Art. 13. En aucun cas l'interruption volontaire de la grossesse ne doit constituer un moyen de régulation des naissances. A cet effet, le Gouvernement prendra toutes les mesures nécessaires pour développer l'information la plus large possible sur la régulation des naissances, notamment par la création généralisée, dans les centres de protection maternelle et infantile, de centres de planification ou d'éducation familiale et par l'utilisation de tous les moyens d'information. TOUS savent ce qu’il est advenu de cette loi, « grâce » à l’acharnement de « féministes » qui prétendent que leur corps leur appartient en oubliant les simples LOIS de la NATURE, qui prétendent qu’elles donnent la vie en oubliant que c’est de l’union d’un homme et d’une femme que se conçoit la vie, qui ont fait prolonger la délai légal d’avortement de telle sorte que quand celui-ci a lieu, le fœtus ressent fortement la douleur de l’acte perpétré par sa mère, qui ont autorisé l’Interruption médicale de grossesse jusqu’au DERNIER JOUR dans des cas très spécieux… !Vous ne le croyez pas ????!!!!Alors , voilà :http://www.admi.net/jo/20010707/MESX0000140L.htmlArticle 2 Dans la deuxième phrase de l'article L. 2212-1 du même code, les mots : « avant la fin de la dixième semaine de grossesse » sont remplacés par les mots : « avant la fin de la douzième semaine de grossesse ».Article 11
L'article L. 2213-1 du même code est ainsi rédigé : « Art. L. 2213-1. - L'interruption volontaire d'une grossesse peut, à toute époque, être pratiquée si deux médecins membres d'une équipe pluridisciplinaire attestent, après que cette équipe a rendu son avis consultatif, soit que la poursuite de la grossesse met en péril grave la santé de la femme, soit qu'il existe une forte probabilité que l'enfant à naître soit atteint d'une affection d'une particulière gravité reconnue comme incurable au moment du diagnostic.
…………….
« Lorsque l'interruption de grossesse est envisagée au motif qu'il existe une forte probabilité que l'enfant à naître soit atteint d'une affection d'une particulière gravité reconnue comme incurable au moment du diagnostic, l'équipe pluridisciplinaire chargée d'examiner la demande de la femme est celle d'un centre pluridisciplinaire de diagnostic prénatal. Lorsque l'équipe du centre précité se réunit, un médecin choisi par la femme peut, à la demande de celle-ci, être associé à la concertation.
La loi française a tout simplement donné aux femmes le DROIT de vie ou de MORT sur les enfants qu’elles portent d’un bout à l’autre de leur conception.
Les mères « meurtrières » dont on nous parle ici avec HORREUR sont les mêmes que celles qui , depuis 1975, tuent des enfants par millions …. simplement, elles passent à l’étape suivante…
Il y avait pourtant déjà eu le cas de ces femmes qui, voulant s'assurer qu'elles étaient encore capables de procréer, se faisaient "mettre enceintes" puis, rassurées, se faisaient avorter !
Ce ne sont pas ces « mères meurtrières » qui sont à condamner, mais le système républicain qui prône les Droits de l’Homme, les Droits de l’Enfant, et qui les laisse ainsi SCANDALEUSEMENT bafouer en autorisant sur son sol la PEINE de MORT légale, sans motif de CULPABILITE…
France , je te hais… avec tous ceux que tu héberges et qui sont complices de cet état de faits.. et surtout avec tes gouvernants qui sont les plus grands criminels de cette planète !
Michel FOURNIER
Dernière édition par fourmi le Jeu 7 Jan 2010 - 9:30, édité 2 fois | |
| | | fourmi second secretaire
Nombre de messages : 877 Age : 75 Localisation : Agii Deka (Crète) Date d'inscription : 21/12/2005
| Sujet: Re: France, je te hais ! Mer 6 Jan 2010 - 17:18 | |
| Quelques compléments :
http://www.lsd-live.org/ftp/metadocs/Biomedicale%20p1/2009/SHS%202/Avortement.pdf
http://www.ethique.inserm.fr/inserm/ethique.nsf/937238520af658aec125704b002bded2/417dbe4a9c983393c12572a6003e62de?OpenDocument (cliquer sur l'icône du document PDF... )
Merci de vos actions ...
Michel FOURNIER | |
| | | fourmi second secretaire
Nombre de messages : 877 Age : 75 Localisation : Agii Deka (Crète) Date d'inscription : 21/12/2005
| Sujet: Re: France, je te hais ! Mer 6 Jan 2010 - 17:41 | |
| Un autre complément, diffusé sur le net le 17 mai 2006....
Bonjour Nathalie,
Je suis un humain parmi d'autres....
Conçu dans des circonstances particulières, j'ai vu mon confort absolu troublé par une aiguille à tricoter.
https://www.youtube.com/watch?gl=FR&hl=fr&v=70E6DPrElWg&feature=related
J'en ai développé une volonté farouche de vivre et j'ai connu ainsi très tôt , bien plus tôt et bien plus fort que la plupart de mes congénères, les douleurs résultant des aléas provenant du monde extérieur..... comparativement à l'extase vécue dans le monde intérieur.
Prématuré (officiellement né à 7 mois 1/2), on a dû utiliser les forceps et faire une épisiotomie à ma mère pour je puisse découvrir cet horrible monde extérieur. Je pesais 3,5 kg.
Pourquoi cela : mes parents m'ont involontairement conçu sur le bord d'un talus du "Moulin de la Housse" de Reims, sans doute vers le 15 août 1948, fête de l'Assomption...
Peu de temps après, ma mère découvrait sa grossesse.
Elle s'en ouvrit à la "faiseuse d'anges" du quartier du Chemin Vert, Noëlla, celle qui allait devenir la femme du frère de mon père, ma tante et ma marraine...
Noëlla usa de l'aiguille à tricoter... m'a-t-on alors tué ? m'a-t-on alors blessé ????
Drôle de prématuré , ne trouvez-vous pas, qui fut baptisé de surcroît "bâtard" par sa grand-mère maternelle ! Eh oui ! ma mère était la préposée au lavage dans la maison de ma grand-mère maternelle, une femme divorcée, seule avec 9 enfants, veilleuse de nuit à la maternité de l'hôpital de REIMS.... et je venais priver cette famile de sa "machine à laver"...
A l'âge de 3 semaines (depuis ma naissance, mais combien depuis ma conception ?), je fis une toxicose et ma mère attendit la dernière minute pour faire le nécessaire, ce qui demanda des soins énergiques et violents : des injections d'eau de mer dans le ventre pour me réhydrater.. ma mère trouva là un peu d'estime car elle m'avait sauvée ( presque le "syndrôme de Münchhausen par procuration" ... http://fr.wikipedia.org/wiki/Syndrome_de_M%C3%BCnchausen_par_procuration )
Je vécus une enfance particulièrement horrible. Ma mère était tombé très vite malade d'une maladie à l'époque évolutive et dégénérescente : le diabète dont elle finit par mourir en 1984, quelques semaines avant la naissance de mon fils Pierre.
Ma sœur et moi avons eu à subir les extrêmes variations d'humeur, parfois les coups qui allaient jusqu'au sang de cette femme en souffrance, sans cesse tourmentée par l'imminence de sa mort éventuelle, aimée sans réserve par un mari extrêmement doux et conciliant.
Ses hospitalisations ont succédé à ses hospitalisations, nous ballottant d'un milieu à un autre, sans aucun repère fixe, sans aucun référent.
Quant aux éventuelles manifestations de ce qu'on appelle l'amour, ce fut le désert total, voire même l'opposé.... "Pyjama !!!! " entendait-on hurler le soir.... et il nous fallait dare-dare aller nous coucher dans une chambre obscure , sans l'ombre d'un baiser ou même d'un "Bonne nuit !"
Lors de ma pré-adolescence, on me confia plus ou moins à un oncle pervers, handicapé par un grave accident de la route, et à une tante qui était devenue quelqu'un par la prostitution.
Je dus très tôt travailler, comme garçon de café chez cet oncle et comme ouvrier dans une chaîne de magasins "Familistère" tout en suivant des études que cette vie perturba quelque peu..
Je découvris ainsi la sexualité dans un climat d'amoralité TOTALE.... et ne pus me construire, sur ce plan, que lors de mon second mariage...
De mon premier mariage, j'eus une fille âgée aujourd'hui de 35ans avec laquelle, malgré tous mes efforts, je ne pus conserver de relations tant j'étais imprégné du machisme pervers de cet oncle ( j'ai dû commettre des maladresses que j'ignore encore ???)... et que cette perversité me dépassait parfois, me rendant ainsi peu agréable à vivre.
Devenu adulte, je quittais vite ces milieux pour tenter de m'installer dans la vie, loin de toutes ces turpitudes que mon "cerveau primal" me commandait de rejeter.
J'épousai alors une femme qui avait eu envers moi un geste de tendresse... qui me rappela le seul geste de tendresse que j'ai jamais reçu de la part de ma mère !
Je baptisais cela "amour" !
Elle se retrouva enceinte d'un bébé Ogino... qu'elle voulut supprimer sans mon accord, en vain, qu'elle accepta de conserver parce que ce serait un garçon et notre fille vit le jour le 26 septembre 1971...
Je fus "père" et "mère" car la mère n'en était pas une devant cet enfant qui ne correspondait à rien de ses désirs !
C'est alors que je commençai une introspection profonde pour savoir qui j'étais, pourquoi j'agissais, commenty je devais vivre pour être "bien"...
Mais où était la vérité, comment fallait-il vivre au quotidien pour être ce personnage parfait que mon cerveau primal me demandait d'être ?
Devenu adulte, je m'engageai dans l'Education Nationale par vocation, devenu expert en maltraitances de tous ordres, connaissant leurs effets dévastateurs sur les enfants, pour apporter aux élèves qui m'étaient confiés ce que la société ignorante de certaines réalités ne pouvait leur prodiguer : amour, confiance, exigence aussi... car il leur fallait, plus que d'autres, s'accrocher pour surmonter leurs "retards" et leurs "blocages" que je comprenais.... pour pouvoir, un jour, vivre sans être "repéré" dans ce monde sans concession.
A ce moment-là, je sollicitai de mon épouse un "fils", cette fois conçu en conscience : " Vas te le faire faire ailleurs" .....fut la réponse... "mais nous restons mariés ! ". ( Ces propos ahurissants ont été confirmés lors d'une enquête des RG effectuée a posteriori )
Une femme mariée, elle-même mère de deux enfants, me proposa alors d'être la mère de ce fils sans pour autant divorcer de son propre mari...
Tout ce scénario était orchestré par la Conseillère d'Education du Collège où j'exerçais, une fermme divorcée qui avait pour amant le Principal du Collège voisin dont l'épouse tenta de se suicider et qui était une fervente admiratrice de Simone de Beauvoir.
Je devins "fou" devant ces comportements et , pendant deux mois, je vécus cela !
Mais cela se sut et mon épouse demanda à habiter ailleurs sans que , pour autant, nous divorcions et notre fille voulut rester avec moi.
Elle déménagea avec mon aide et la situation perverse se poursuivit deux mois encore. Un jour, je lui demandai de stopper... mais elle trouvait son plaisir dans cette situation et refusa de reprendre une vie "normale", y compris dans l'intérêt de notre fille que je plaçai au premier plan...et le divorce arriva... c'est alors qu'à 33 ans je découvris les racines de mon mal-être, les racines du mal être de cette société française...
Une autre femme se présenta un an après qui accepta que nous concevions un fils lequel naquit en décembre 1984 ; mais elle me fit prendre en charge ses deux filles nées d'un précédent mariage en faisant tout pour que ma fille me quitte !
J'appelais cela aussi "amour"... !
En 1984, après avoir travaillé d'arrache-pied pendant 4 ans, expérimenté des nouvelles attitudes, de nouveaux contenus d'enseignement, de nouvelles pratiques, je publiais un "projet pédagogique" qui, en fait, était un bilan pédagogique faisant état de nos réussites quant à la réinsertion de nos élèves pourtant qualifiés de "déficients intellectuels."
Oui, contre toute attente, un tiers de nos élèves avaient comblé leurs retards, avaient retrouvé confiance en eux, ne posaient plus de problèmes de comportements.
C'est alors que la dite société manifesta à mon encontre des réticences étranges, récurrentes et violentes , tout en reconnaissant le bien-fondé et l'efficacité de mes actions.. qui n'étaient que la reprise des souhaits exprimés par les uns et les autres, les parents ou les politiques... tandis que la hiérarchie traînait la jambe.
Je conçus alors le projet d'une nouvelle société, projet englobant l'école mais la re-situant dans ses rapports avec les autres institutions de notre société, notre société étant elle-même impliquée et concernée par l'évolution de la planète, à tous niveaux , avec des principes véritablement démocratiques, où on donnerait le plus à ceux qui avaient le moins, où on réduirait pas tous moyens la fracture sociale, où on manifesterait en permanence sa solidarité envers chacun et tous sur la planète.
Un projet "mondialiste", mais où tout ce qui existe sur la planète serait mis au service de l'homme, de tout humain, et non l'inverse.
Je soumis dès 1990 ce projet à TOUS les politiques "influents" en France et hors de France, à tous les religieux du plus haut niveau sur la planète, alors en fonction, à nombre d'idéologues référents..
Je reçus l'assentiment de certains, la désapprobation d'autres....
Au fil du temps, sans relâche, par courriers ou visites directes, au travers aussi d'actions modestes mais percutantes, je n'ai eu de cesse de les interpeller, de les accuser, de les amener à se remettre en question, de les placer devant leurs contradictions.
Rencontrant le plus souvent ou de l'incompréhension, ou des allusions particulières quant à mon état mental, ou à un prétendu orgueil que l'on m'attribuait sans raison, ou même de l'opposition car je remettais en question des valeurs et pratiques réputées "justes" mais qui avaient montré leurs limites, je dus lutter sans relâche ... et SEUL : aucun parti politique, aucune religion, aucune idéologie ne pouvait m'accepter en son sein puisque mon action consistait à passer TOUT au crible, sans concession.... et que cela aboutissait parfois à "démolir" ce que ces personnages soutenaient.
C'est seul, parfois et même souvent dans une adversité sans limite, que je menais à bien mon projet....
Dans le même temps, me rendant en Grèce, et plus précisément en Crète chaque année depuis 1976, je m'enrichissais de connaissances réactualisées et JUSTES sur notre passé spirituel, découvrant des vérités cachées sous des textes codés, découvrant des sites archéologiques oubliés et leur véritable signification, déterrant ce que des communautés avaient enfoui sous leurs affirmations péremptoires.
Il m'arriva professionnellement bien des avatars.
Il m'arriva familialement bien des drames... mais aussi le bonheur immense de concevoir, en pleine conscience, un fils en mars 1984, Pierre, qui vint au monde le 4 décembre 1984.
Il m'arriva enfin de constater que mon projet avait avancé à un tel point qu'il est en route à terminer sa mise en place...
En 2006, je ne puis que constater, jour après jour en écoutant ce que devient le monde, que mon projet est en route à se concrétiser SUR TOUS LES PLANS.
Aujourd'hui, Pierre est adulte (il l'est depuis bien longtemps, en fait).... je suis en retraite et perçois de quoi survivre à peine si je reste en France, de quoi vivre avec un certain bonheur si je m'installe en Crète.
J'ai eu, hier 16 mai 2006, le bonheur de passer le cap des 57 ans.
Je me sens en forme pour vivre encore quelques belles décennies, avec la satisfaction toute simple d'avoir accompli la mission que je m'étais fixée.... et que seule , véritablement, la Crète m'a aidé à mener à son terme.
En juin 2006, c'est là que je vais me retirer définitivement, sur les lieux où la mythologie prétend que ZEUS a fécondé EUROPE, sur les lieux où se trouve le vrai labyrinthe de la mythologie, sur l'emplacement probable d'un des vestiges de cette Atlantide mythique imaginée par Platon...
J'ai quelques découvertes capitales à faire, encore... grâce à ma connaissance des archives de l'humanité dont je n'ai pas encore exploré toutes les richesses...
C'est là que, dans un environnement sain et paisible, je recevrai ceux qui auraient envie d'entendre les détails de mon histoire, de consulter tous les documents qui attestent de son authenticité, qui voudraient, à leur tour, se lancer dans la transformation du monde pour que chacun s'y sente BIEN.
Cordialement
Michel FOURNIER
Dernière édition par fourmi le Jeu 7 Jan 2010 - 9:51, édité 1 fois | |
| | | fourmi second secretaire
Nombre de messages : 877 Age : 75 Localisation : Agii Deka (Crète) Date d'inscription : 21/12/2005
| Sujet: Re: France, je te hais ! Mer 6 Jan 2010 - 22:25 | |
| Et pour finir ....
https://www.youtube.com/watch?v=G-sRSOfIg3E&feature=related Michel FOURNIER | |
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| | | | France, je te hais ! | |
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