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 Faut arrêter avec la grippe aviaire .... intox !

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Nimzegin
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Nimzegin


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Date d'inscription : 06/01/2006

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MessageSujet: Faut arrêter avec la grippe aviaire .... intox !   Faut arrêter avec la grippe aviaire .... intox ! EmptyMer 5 Avr 2006 - 20:28

Citation :
Grippe aviaire: plaidoyer des experts pour les oiseaux sauvages
Mercredi 05 avril 2006, 13h26
http://www.linternaute.com/actualite/depeche/23/155922/grippe_aviaire_plaidoyer_des_experts_pour_les_oiseaux_sauvages.shtml
Les oiseaux migrateurs ne sont pas les grands responsables de la propagation de la grippe aviaire, plaident les experts qui font valoir que le virus pathogène H5N1 est complètement absent du parc ornithologique de Marquenterre (Somme), pourtant fréquenté par des milliers d'oiseaux. "Ce ne sont pas les oiseaux migrateurs" qui sont responsables de la propagation du virus, "ce sont les voies du commerce mondial" et les exportations de volailles infectées, assène Patrick Triplet, ornithologue, spécialiste des migrations, lors d'une visite de ce parc. "Les oiseaux migrateurs ont pu jouer un rôle" mais "pas à 100%", (...) le commerce a été beaucoup plus important", notamment en Asie du Sud-Est, nuance Jeanne Brugère-Picoux, professeur à l'Ecole nationale vétérinaire de Maisons-Alfort. La route de propagation du virus H5N1 (est-ouest) ne coïncide absolument pas avec les routes migratoires qui suivent un axe nord-sud. "Il n'y a pas de route migratoire est-ouest", commente Patrick Triplet. La sortie du virus de la Chine vers l'Europe ne serait pas due aux migrations d'oiseaux sauvages mais tout simplement au transsibérien. "Les foyers s'arrêtent autour des gares du transsibérien, en Russie", fait observer Jeanne Brugère-Picoux. Le virus a été détecté dans des élevages domestiques au Niger et au Nigeria, mais aucun oiseau sauvage infecté n'a été retrouvé sur le continent africain. Patrick Triplet soupçonne que des importations de volailles infectées en provenance d'Asie aient été à l'origine de la contamination au Nigeria. De toutes façons, un oiseau malade meurt en quelques heures et ne peut franchir une grande distance pour aller répandre le virus sur le continent voisin, fait-il remarquer. "Il n'y pas eu de cas en Nouvelle-Zélande, ni en Australie", renchérit Mme Brugère-Picoux. En outre, "le virus se propage dans les zones froides et stables comme la Sibérie et le nord de la Chine" mais avec les migrations, "il s'éteint de lui-même avec la chaleur et les milieux instables", indique Philippe Carruette, ornithologue, responsable du partenariat entre le parc du Marquenterre et l'institut Pasteur pour la surveillance de la grippe aviaire.

Dans cette réserve naturelle picarde accueillant 140.000 visiteurs par an, on multiplie les précautions, alors que les oiseaux reviennent d'Afrique. Les ornithologues traquent les virus grippaux en effectuant de 300 à 600 prélèvements chaque année sur des oiseaux. Aucune trace du H5N1 n'a été découverte. Les organisateurs du Festival de l'oiseau et de la nature de la baie de Somme (15 au 23 avril) dénoncent une récente directive des ministères de la Santé et de l'Education déconseillant aux scolaires la visite de réserves ornithologiques. "Cessons de diaboliser les oiseaux migrateurs, il n'y a aucune risque d'attraper le virus en observant les oiseaux", lance Jean-Jacques Fresko, rédacteur en chef du magazine Terre Sauvage, qui sort un hors-série sur les oiseaux sauvages. "Là, regardez, un vol de spatules blanches", ces échassiers au long bec en forme de cuiller, s'enthousiasme Philippe Carruette. Plus loin, un couple de cigognes tournoie dans le ciel, des oies sauvages prennent leur envol bruyamment, tandis que huîtriers pie et avocettes fouillent la vase d'un marais en compagnie d'une grue cendrée. "Celle-là, elle a l'aile cassée, elle ne peut plus voler et elle est devenue sédentaire dans le parc", commente l'ornithologue.
La vérité ?
ici Evil or Very Mad
http://www.brest-ouvert.net/article2493.html

Le saviez-vous ?
Des pruniers plantés pour une récolte industrielle, présentent également une maladie qui se propagent d'arbre en arbre .... la maladie de la Sharka
Quelle est la nature de la maladie de la Sharka ?

Citation :
La maladie de la Sharka cible principalement les arbres fruitiers à noyau tels que les pruniers, pêchers, abricotiers... Originaire de Bulgarie, elle s’est rapidement propagée vers les vergers des pays voisins. Aujourd’hui, l’Europe centrale et les Balkans sont les zones dîtes “foyers endémiques”, c’est-à-dire que la maladie y est en permanence exprimée de manière résiduelle. Avec l’importance des échanges internationaux, la maladie s’est diffusée dans tous les vergers industriels. Aujourd’hui, le Canada, la Turquie, l’Egypte et le Chili sont touchés9. En France, la Sharka est un vrai fléau pour les vergers industriels à variété unique. En janvier 2006, au cours du soixantième congrès de la Fédération Nationale des Producteurs de Fruits (FNPF), le Ministre français de l’Agriculture et de la Pêche, D. Bussereau déclarait : “Fléau important dans cette région [Isère], nous poursuivons également notre lutte contre la Sharka, démarche qui s’inscrit pleinement dans le cadre de notre recherche de qualité sanitaire. [...] D’ores et déjà, des crédits sont dégagés : 600 000 euro pour le financement d’un programme de recherche et d’expérimentation de variétés résistantes à la maladie et 900 000 euro pour le déplacement des pépinières hors des zones à risques, afin d’éviter de planter des arbres atteints de la Sharka”.
http://www.infogm.org/article.php3?id_article=2534
Et hop ! on va nous glisser des arbres à noyaux transgéniques Evil or Very Mad
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Bones
second conseiller
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Date d'inscription : 14/09/2006

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MessageSujet: Re: Faut arrêter avec la grippe aviaire .... intox !   Faut arrêter avec la grippe aviaire .... intox ! EmptyJeu 14 Sep 2006 - 11:58

Effectivement, la grippe aviaire n'a strictement rien à voir avec les oiseaux migrateurs...

Saviez vous qu'on ne sait meme pas de quoi sont morts les oiseaux retrouvés dans la région de l'Ain et de Genève ? Ces oiseaux portaient bien le virus H5N1, mais on ne sait meme pas si c'est ca qui les a tué.

Pour les poules d'élevage, aucun doute. Par contre on sait que certains oiseaux peuvent etre porteur sans pour autant en mourir. Comme les pigeons.


Voilà un mini dossier sur le sujet :

Citation :

Voici une lettre écrite par une membre du Cercles des Sciences de la Riviera Vaudoise, visant à clarifier la situation par rapport à toutes la
désinformations qui se fait dans les médias à ce propos. Et qui mènent,
par exemple, à ce genre d'absurdités :

-> 24heures (Suisse) 29 mars 2006

-> La Meuse (Belgique) 21 mars 2006

Infos utiles :


-> Dossier très intéressant sur le virus de la grippe aviaire et son développement (Oiseau Magazine, décembre 2005) http://www.lpo.fr/actu/2005/grippe-aviaire/doc/OM81dossierWEB.pdf

-> Station ornithologique de Sempach : Quelle est la situation actuelle de la grippe aviaire en Suisse ?
http://www.vogelwarte.ch/aufruf.php?wtopic=1&titel=Grippe aviaire&lang=f&file=aktuell/aktuell_themen/vogelgrippe_f.php

-> Page d'info sur Oiseaux.ch
http://www.oiseaux.ch/grippe.php





Contrairement à ce que les médias répercutent abondamment et sans
discernement, LES OISEAUX MIGRATEURS NE SONT PAS RESPONSABLES DE
L’EPIZOOTIE DE GRIPPE AVIAIRE. ILS EN SONT BIEN PLUTÔT LES VICTIMES.
Quelques éléments de raisonnement à l’appui de cette constatation :

1. La grippe aviaire a montré le bout de son nez, il y a dix ans
déjà, à Hong-Kong, haut-lieu de l’élevage industriel de volailles
commerciales par hyper-entassement.
2. Des abattages de masse ont été ordonnés par les autorités
sanitaires locales (premières images cinglantes de volatiles enfournés
vivants dans les incinérateurs).
3. Ensuite, silence médiatique pendant quelques années
4. Il y a deux ou trois ans environ, réapparition de la maladie dans le sud-est asiatique et en Chine.
5. Propagation à la Russie
6. Extension à la Roumanie puis à la Turquie
7. Apparition de l’épizootie au Nigéria
8. Extension à l’Europe du nord, à l’Italie, à l’Europe du sud-est et premiers cas en France, puis en Suisse.
9. Les oiseaux migrateurs sont fortement soupçonnés d’être les
vecteurs mondiaux de l’épizootie, instruction menée presque uniquement
à charge par les médias et la vox populi.

Pourtant :
1. Il n’y a pas ou peu de route migratoire des oiseaux sauvages entre le sud-est asiatique et la Chine.
2. Il n’y a pas de route migratoire des oiseaux sauvages entre la Chine et la Russie.
3. Il n’y a pas de route migratoire des oiseaux sauvages entre
l’Asie du sud-est, la Chine, la Russie, l’Europe de l’est et la Turquie
d’une part et le Nigéria d’autre part.
4. Israël est le lieu de passage le plus fréquenté du monde par les
oiseaux migrateurs (des millions voire des milliards de passages chaque
printemps et chaque automne).
5. A ce jour, aucun cas de grippe aviaire n’a été publié en Israël.
6. En Asie, les oiseaux migrent essentiellement de la Sibérie et de l’Asie centrale vers l’Inde et retour.
7. Il n’y a que peu de cas de grippe aviaire en Inde.
8. La Suisse est un haut-lieu de passage des oiseaux migrateurs. Des
centaines d’entre eux ont été contrôlés dans l’hiver 2005-2006. Aucun
cas de grippe aviaire jusqu’au 27 février 2006. Depuis, seuls trois ou
quatre oiseaux sauvages morts du HrN1 ont été recensés en Suisse.
9. Quelques oiseaux migrateurs peuvent se perdre – cela arrive,
particulièrement en cas de météo catastrophique – entre la Chine et la
Russie ; mais, pas plus qu’une hirondelle ne fait le printemps, ces
spécimens ne peuvent être à l’origine de l’épizootie russe. Il aurait
fallu, pour cela, des arrivages en masse. Cela n’a jamais été signalé.
10. Les oiseaux migrateurs infectés par le virus hautement pathogène
H5N1 ne peuvent parcourir que de courtes distances avant de mourir.
11. Si quelques-uns d’entre eux sont porteurs sains du virus, ils
sont si rares que ce phénomène ne peut raisonnablement expliquer le
déclenchement d’épizooties foudroyantes dans certaines régions du
monde. Et encore peut-on se demander si les porteurs sains portent le
virus hautement pathogène H5N1.

Facts
1. On constate l’apparition soudaine de la maladie dans des pays liés par un important commerce de volailles d’élevage.
2. C’est le cas entre l’Asie du sud-est et la Chine, entre la Chine et le Nigéria, etc.
3. En Sibérie, tous les foyers de grippe aviaire longent étroitement la ligne du Transsibérien.
4. Ce commerce est souvent clandestin ou mal contrôlé par des
autorités sanitaires et douanières démunies de moyens et/ou de volonté.
5. En général, lorsque des volailles vivantes sont transportées, il
s’agit de « poussins du jour ». Ces oisillons voyagent quasiment sans
aucun contrôle sanitaire. Le long du Transsibérien, des millions de «
poussins du jour » font des sauts de puces… au jour le jour. Ne
demandez pas dans quelles conditions.
6. Ce qui est valable pour le Transsibérien l’est aussi pour bien des pays de l’est européen et la Turquie.
7. On a pu repérer des « routes » de la grippe aviaire liées aux circuits commerciaux non contrôlés des œufs.
8. Les pays où l’élevage de volailles a été amélioré du point de vue
de l’hygiène, du respect de l’animal, de son alimentation, de la
traçabilité de la production et des circuits commerciaux (correctement
contrôlés) ne connaissent pas d’explosion de la maladie mais uniquement
quelques cas isolés, et encore.
9. C’est le cas de la plupart des pays d’Europe occidentale, y compris la Suisse.
10. Dans de nombreux pays, le lisier produit par l’élevage
industriel des volailles est utilisé pour fertiliser les champs. Les
fientes de volailles infectées transmettent la grippe aviaire.
11. De nombreuses espèces d’oiseaux, migratrices ou sédentaires, se
nourrissent dans les champs, y compris certaines espèces aquatiques,
surtout pendant l’hiver (les cygnes par exemple, les oies, certains
canards, etc.)
12. Le lisier de volaille est également utilisé dans certains pays
pour enrichir les eaux des élevages de poissons. Certains scientifiques
estiment que la grippe aviaire pourrait, de cette manière, se
transmettre aux oiseaux sauvages aquatiques.
13. Depuis une ou deux décennies, les routes commerciales par voies
aérienne, maritime et routière ont connu une évolution démesurée
(vitesse et densité), mondialisation et chute des prix des transports
obligent.
14. Comme toujours dans ce genre de malheur qui frappe d’abord les
pays de mal développement, il a fallu que l’épizootie atteigne les pays
riches pour que leurs autorités et leurs populations s’émeuvent.

Conclusions logiques
En mettant tous ces éléments en relation les uns avec les autres, on peut parvenir aux conclusions suivantes :
1. Le virus de la grippe aviaire – sous toutes ses formes – a trouvé
un terrain idéal dans les élevages industriels de volailles qui ne
respectent pas les conditions convenables d’hygiène, de production, de
commercialisation et de protection des animaux et de l’environnement
(poursuite frénétique de la sur-rentabilité économique ou nécessité de
fournir une alimentation à bas prix à des populations à faible pouvoir
d’achat).
2. Ces élevages offrent au virus des conditions parfaites de
multiplication et, surtout, de mutation vers des formes hautement
pathogènes, à l’origine d’épizooties foudroyantes.
3. Les foyers de grippe aviaire apparaissent le long des routes
commerciales écoulant la production des élevages de volailles non
conformes à l’hygiène et à l’éthique.
4. Les oiseaux sauvages ont été infectés par ces élevages, soit par
contact plus ou moins direct, soit par nourrissage dans des lieux
contaminés par des déchets et déjections de volailles de rente.
5. Les oiseaux sauvages, migrateurs ou non, sont donc les victimes de l’épizootie et non ses déclencheurs.
6. Mais il n’est pas impossible que maintenant, le mal étant fait,
les oiseaux migrateurs hautement infectés soient devenus l’un des
vecteurs de l’épizootie par sauts de puce et effet de proximité. Mais
ce n’est qu’un effet marginal. Sinon, il n’y aurait plus un seul
élevage de volailles de rente en Europe occidentale ni ailleurs.
7. Dans ce contexte, les mesures sévères prises par les pays atteints ou menacés par la maladie sont parfaitement admissibles.
8. Toutefois, il n’est pas certain qu’elles soient suffisantes. En
effet, cela pourrait bien revenir à casser le thermomètre pour
supprimer la grippe.
9. Il serait donc utile de prendre le mal à la racine, à savoir
mettre de l’ordre – mondialement – dans les élevages industriels de
volailles et la commercialisation de la production. Ce qui a été fait
en Suisse par exemple peut parfaitement se faire ailleurs.
10. Tant que cela ne sera pas fait, le H5N1 restera une menace potentielle, même si l’actuelle épizootie est maîtrisée.
11. Tant que cela ne sera pas fait, les principales victimes de la
grippe aviaire seront : 1) dans les pays pauvres, les personnes à bas
ou faible revenu, vivant essentiellement de leur production domestique
de volailles – ressource qui leur est enlevée sans autre forme de
procès et sans guère de compensation en cas de contamination - et
cibles faciles de la forme du virus transmissible à l’homme par
l’animal (cf. la Turquie et les nombreux décès en Asie du sud-est); 2)
les volailles d’élevage ; 3) les oiseaux sauvages, migrateurs ou non;
4) les autres animaux que l’on abattra peut-être ou confinera au
prétexte qu’ils peuvent être contaminés et se muer en vecteur de la
maladie (les chats et autres félins, par exemple) ; 5) une certaine
idée de la solidarité entre les humains et de l’interdépendance
respectueuse entre les humains et la nature.
12. Et si le virus H5N1 mute et provoque une pandémie humaine
(transmission d’être humain à être humain, ce qui n’est pas le cas en
ce moment), les principales victimes seront, comme toujours, y compris
dans les pays développés, les personnes fragiles, marginalisées, à bas
revenu, les laissés pour compte d’une société qui se refuse à la
solidarité et à remédier à ses insultantes fractures.
13. Dans une planète à économie mondialisée, la recherche frénétique
de la sur-rentabilité plaquée sur le mal-développement constitue non
seulement une insulte au genre humain mais aussi un producteur de
catastrophes à effet boomerang sur les pays riches.
14. A l’heure actuelle, les seuls gagnants de l’épizootie sont les
producteurs de tamiflu et de matériel anti-grippe aviaire tels que
désinfectants, vaccins, etc. Mais si l’on veut soigner non seulement en
cassant le thermomètre mais aussi en attaquant le mal à la racine, il
ne serait pas inutile d’affecter de solides ressources à un partenariat
intelligent avec les régions piégées par le mal-développement, donc par
un bas niveau de revenus qui pousse à la production effrénée de
volailles – et d’autres aliments et biens - à bas prix dans des
conditions intolérables et dévastatrices. Il y a tout à parier que la
grippe aviaire peut évoluer de manière inversement proportionnelle à
l’aide au développement.
15. En fin de compte, ce que l’être humain fait aux animaux, il le
fait à l’homme; et les maux que l’espèce humaine inflige à la planète,
elle les inflige à elle-même. La preuve par la grippe aviaire. Et par
tous les phénomènes de surexploitation sans frontières.

Si vous êtes adepte d’une certaine logique de raisonnement
Si vous avez peur d’attraper la « peste » aviaire
Si la désinformation hystérique vous agace
Si l’évolution de la planète Terre vous intéresse, ne serait-ce qu’un peu
Si vous avez dû confiner vos volatiles
Si vous craignez de devoir enfermer votre chat
Si vous êtes tentés de jeter vos animaux de compagnie à la rue
Ou si, tout simplement, faire circuler l’info vous paraît utile ou, en tout cas, non dommageable :

Faites passer ce courriel au plus grand nombre de personnes possibles.
Réfléchir ne mange pas de pain.

Granges (Suisse), mars 2006
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Moranion
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Date d'inscription : 31/01/2006

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MessageSujet: Re: Faut arrêter avec la grippe aviaire .... intox !   Faut arrêter avec la grippe aviaire .... intox ! EmptyJeu 14 Sep 2006 - 12:37

Je ne sais plus où j'avais lu ça, ptet dans Marianne, que la zone de contamination de la grippe aviaire suivait non pas le parcours des oiseaux migrateurs, mais le parcours de l'indsutrie agro-alimentaire...
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Bones
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Date d'inscription : 14/09/2006

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MessageSujet: Re: Faut arrêter avec la grippe aviaire .... intox !   Faut arrêter avec la grippe aviaire .... intox ! EmptyJeu 14 Sep 2006 - 14:19

Oui ca suit les axes de "migration humaine" si on peut dire.

Et les oiseaux touchés ne sont pas des migrateurs (les cygnes), ou n'ont pas été touché pendant la période de migration (morillons, harles).
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