Comment informer sans informer
La télévision est un outil pour l’information mais aussi pour la désinformation. Le fait est que les annonceurs des journaux télévisés calcul les sujets que le téléspectateur va retenir et ceux qu’il ne retiendra pas. Alors expliquons comment on ne se souvient pas d’un sujet. Imaginez un petit sujet sans fond sonore, de courte durée, voir de très courte durée, dés fois une simple brève dictées par le présentateur. Prenons l’exemple des coulés de boues en Bolivie qui détruisent certaine exploitation de coca (principales ressources de survie pour la population), habilement placé entre deux sujets sur les « émeutes » passera totalement inaperçu alors que du coca dépens l’économie Bolivienne. Les conséquences sont multiples et dangereuses. Le tsunami reçoit affluence de don, non démobilisable de ce phénomène, pour reconstruire des hôtels, ce qui contraste avec le manque de couvertures que les montagnards du Pakistan, avaient, devait recevoir pour survivre cet hiver. Analysons ce phénomène par le fait qu’au Pakistan les hôtels touristiques et par conséquent les retombés économiques pour les médias soient quasi nuls. En apparte on peut noter une similitude entre les témoignages des « victimes » et les analyses télévisuelles, la réalité des témoignages n’est plus avérée car copiés ou proche des analyses médiatiques. Un effet de cercle vicieux s’en suit.
Pour finir on peut dire qu’une information sur une catastrophe naturelle peut soit passer inaperçus soit être correspondante aux analyses télévisuelles.